La problématique de l’hébergement et de l’encadrement de la jeune fille \r\ndes lycées et collèges en Côte d’Ivoire demeure une réalité.

L’insuffisance sinon \r\nl’inexistence des infrastructures d’accueil de la jeune fille fait que plusieurs \r\nélèves vivent dans une grande précarité avec toutes les conséquences que cela \r\npeut comporter.\r\n

Ainsi Il a été dénombré au cours de l’année scolaire 2016-2017 selon le \r\ntableau d'identification des grossesses, trente-deux (32) grossesses dont une \r\nfillette de onze ans, selon ce même tableau, la majorité des filles vivant chez un \r\ntuteur est enceinte et est au premier cycle.

Ce qui réduit gravement le nombre de \r\nfilles aptes à achever le second cycle ; affectant indubitablement le taux de \r\nréussite scolaire de façon général.\r\n

Sur un total de trois mille huit cent cinquante-huit (3858) élèves deux\r\nmille deux cent soixante-seize (2276) garçons et seulement mille cinq cent \r\nquatre-vingt-trois(1583) filles.

Ce projet de création de centre d’accueil pour jeunes filles dans la ville de \r\nSIKENSI à été mis en œuvre en 2018 par ONG Cœur d'Esther et vise à mettre en sécurité des jeunes filles de 11 à 18 ans à l’abri des \r\ntentations pouvant porte préjudice à leur vie scolaire mais surtout à l’abri des \r\nconséquences que peuvent engendrer pour ces adolescence des relations \r\namoureuses dans un pays ou la sexualité reste un tabou, ou l’éducation sexuelle \r\nest inexistante aussi bien dans les grande villes que dans les zones périphériques.

Aujourd'hui, l'ONG reste seule à prendre en charge le Centre Esther de Sikensi avec son internat de jeunes filles, issues de milieu défavorisé.

Nous faisons donc appel à toutes les bonnes volontés. Tous celles qui souhaitent parrainer des jeunes filles en difficultés. Pour cette année, nous souhaitons prendre en charge 20 filles supplémentaires.

La pension est de 180 000 l'année.

Contact pour l'ONG: 

Mme DAKOURI Dominique

Fondatrice de l'ONG